Solidar-Belle 5ème Edition
Impôts ~ Travail ~ Economie
Intérêt général ~ Transparence ~ Equité
Intercommunalité ~ Technologies ~ Entreprises
Voter par procuration :
Si le 23 ou le 30 mars, vous ne pouvez vous rendre dans votre bureau de vote, n’hésitez pas à voter par procuration. La démarche est très simple et peut se faire en quelques clics sur Internet : http://www.service-public.fr/actualites/002368.html
En cas de difficulté, vous pouvez nous contacter au 06 20 60 73 16
Ni de droite ni de gauche car c’est en regardant devant que l’on peut avancer.
Solidar-Belle : Comment se déroule cette campagne électorale ?
Marc Deneuche : Remarquablement bien. Je suis agréablement surpris par l’intérêt porté par les Bailleulois à ma candidature et je remercie tous ceux qui m’écrivent, me posent des questions, m’adressent des mots d’encouragement pour mon investissement.
J’en profite aussi pour remercier tous ceux qui m’ont aidé dans cette campagne et notamment les jeunes qui nous ont apporté leur fraîcheur et leur dynamisme car ce que l’on sème aujourd’hui, ce sont eux qui le récolteront demain.
Solidar-Belle : Peut-on revenir sur les thèmes qui n’ont pas été évoqués dans la précédente édition et notamment la propreté de la ville ?
Marc Deneuche : Effectivement, ce thème de la propreté revient tous les jours. Que ce soit la propreté de la ville mais aussi des hameaux qui ont l’impression d’être abandonnés et aussi des cimetières et notamment celui de La Crèche. Il apparaît indispensable de réorganiser l’équipe chargée de la propreté et il est nécessaire de leur fournir les outils adéquats. Le candidat sortant évoque l’achat d’une balayeuse à plusieurs milliers d’euros; je propose plus modestement l’achat de dix balayeuses mécaniques de 480 mm d’une valeur de 400 euros afin de valoriser le travail de nos agents, d’augmenter leur efficacité tout en leur rendant la tâche moins pénible. De plus, ces petits engins peuvent se faufiler entre les voitures.
Solidar-Belle : Avez-vous d’autres propositions concernant la propreté ?
Marc Deneuche : Il faut disposer de poubelles dispersées dans toute la ville et les hameaux, rénover les toilettes publiques dont une fuite constatée la semaine dernière a nécessité une semaine pour être colmatée.
Il faut aussi lutter contre les déjections canines sur les trottoirs. Mais aussi remettre en place le ramassage des encombrants dans les hameaux car très régulièrement les agriculteurs retrouvent des machines à laver dans les fossés.
Solidar-Belle : Vous n’avez pas encore évoqué le problème des inondations ?
Marc Deneuche : Je partage le désespoir des Bailleulois victimes d’inondations qui chaque jour scrutent le ciel avec angoisse. Le problème des inondations doit faire partie des priorités à traiter dès cet été.
Solidar-Belle : Vous avez des solutions « miracle » ?
Marc Deneuche : Non, je n’ai pas de baguette magique pour lutter contre les catastrophes naturelles, mais il existe des solutions de prévention qui doivent être appliquées très régulièrement comme le curage des fossés, l’élargissement des becques, la création de zones tampons…
Le marché
Solidar-Belle : Que pensez-vous du déplacement du marché ?
Marc Deneuche : Ce qui importe, c’est d’écouter l’avis des consommateurs. Donc, à trois reprises, je pratiquerai des sondages, le mardi sur le marché auprès des Bailleulois et des commerçants. Les résultats seront rendus publics et, en fonction de ceux-ci, des décisions seront prises dès septembre 2014.
Economie
Solidar-Belle : La gestion d’une ville comme Bailleul nécessite des compétences économiques ?
Marc Deneuche : En cette période de récession, et alors que le gouvernement fait des économies en rognant sur la dotation globale des collectivités territoriales, il importe que le futur maire de Bailleul soit entouré d’économistes chevronnés. C’est dans cette optique que cinq membres de ma liste manient les chiffres quotidiennement avec dextérité au service des entreprises.
Et pour témoigner de ma volonté de ne pas augmenter les impôts et de gérer la ville avec rigueur mais sans austérité, j’ai décidé de mettre en deuxième position sur notre liste Bénédicte CREPEL, cadre financier dans un grand établissement bancaire, dont les compétences sont reconnues tant dans le monde financier que dans le monde de l’entreprise.
Solidar-Belle : Quand allez-vous étudier le budget ?
Marc Deneuche : Comme la loi m’y autorise, j’ai demandé à Bénédicte CREPEL de se rendre en mairie pour se faire communiquer les documents comptables et vous trouverez dans les pages suivantes, une analyse objective de la situation financière de notre ville.
Solidar-Belle : Oui, mais l’économie c’est compliqué !
Solidar-Belle : Vous voyez Bailleul en faillite ?
Marc Deneuche : Non car la ville dispose d’un moyen simple pour se tirer d’affaires sans effort :
Augmenter les impôts locaux. Et ceux-ci se sont accrus de 28,66% ces cinq dernières années.
La deuxième solution est de créer un nouvel impôt dans le cadre de l’intercommunalité qui sera payé par toutes les communes vertueuses qui nous entourent.
Apparemment c’est la solution choisie par les candidats PS et comme le dit le candidat sortant, « Je suis favorable à une CCFI la plus large possible et il faut y transférer un maximum de compétences ».
Ce qui permet de recruter en toute opacité un maximum d’amis et de s’octroyer des indemnités confortables.
Solidar-Belle : Sur le plan économique, quels sont les faiblesses de la ville ?
Marc Deneuche : Bénédicte Crepel et son équipe vont vous montrer les handicaps de Bailleul, que l’on peut résumer en trois phrases :
- Des dépenses de fonctionnement non maitrisées avec par exemple pour le dernier exercice une augmentation de 3,8 % alors que les recettes diminuent.
- Des investissements en chute libre de 21% entre 2008 et 2012.
- Une marge d’autofinancement égale à zéro.
Budget municipal
Solidar-Belle : Que nous montre cette courbe ?
Bénédicte Crepel : J’ai relevé les chiffres de l’imposition locale entre 2008 et 2012 et l’on observe une augmentation de 28,66% sur 5 ans.
Puis j’ai fait réaliser ce tableau prévisionnel en imaginant que l’équipe municipale ne change pas, que la situation économique ne s’aggrave pas et que la dotation globale ne diminue pas.
Solidar-Belle : C’est très inquiétant pour les Bailleulois.
Bénédicte Crepel : Effectivement sans changement de gestion, la fiscalité locale va devenir insupportable, d’autant que la situation sera aggravée par la volonté de François Hollande de faire 50 milliards d’économie sur le dos des collectivités territoriales.
De plus la création de la CCFI (Communauté de Communes de Flandre Intérieure) va encore alourdir l’addition. Il faut craindre des faillites chez les artisans et les commerçants et des départs vers des villes où la fiscalité est plus raisonnable.
Solidar-Belle : Cela veut dire quitter la région ?
Bénédicte Crepel : Non, il suffit de partir à Meteren, dont la taxe d’habitation est à 68,59 € alors qu’elle s’élève à 130,09 € en France et 184,76 à Bailleul.
Solidar-Belle : Quelle est la conséquence ?
Bénédicte Crepel : Une baisse des recettes pour Bailleul et donc une réduction de ses possibilités d’investissement.
Solidar-Belle : Que représente ce graphique ?
Bénédicte Crepel : Les charges et les produits de fonctionnement et l’on observe que les deux courbes se croisent ce qui veut dire que les frais de fonctionnement sont supérieurs aux recettes.
Les frais de fonctionnement avaient augmentés de 2% en 2012 et pour l’exercice 2013 seront en hausse de 3,8%.
Solidar-Belle : D’où tirez-vous ces chiffres ?
Bénédicte Crepel : Ils ont été fournis par monsieur Gilloen lors du dernier conseil municipal et ce qui m’inquiète c’est que dans la majorité sortante personne n’a protesté ou proposé des solutions pour combler ce déficit.
Solidar-Belle: Que va-t-il se passer ?
Bénédicte Crepel: Ils ont prévu un emprunt de 500.000 € auprès de la Caisse d’épargne, alors que la solution consiste à faire venir des entreprises sur Bailleul; car comme le dit monsieur Gilloen les recettes de Merville sont beaucoup plus élevées qu’à Bailleul.
Sans changement immédiat de politique, les Bailleulois vont se retrouver acculés à subir une augmentation de la pression fiscale dans une ville dont les investissements sont en chute libre de 21 % entre 2008 et 2012 et dont la marge d’autofinancement est malheureusement égale à zéro.
Si vous souhaitez plus d’éléments sur la gestion municipale, rendez vous sur notre site : www.deneuche.fr ou sur Facebook : Marc Deneuche
Emploi
Solidar-Belle : Lionel Jospin disait « Trouver sa place dans la société, c’est d’abord avoir un emploi. »
Sébastien Malésys : Effectivement, sans un emploi épanouissant on ne peut pas réussir sa vie… et trouver sa place dans la société, c’est une façon de réussir sa vie.
Solidar-Belle : Mais un maire ne peut pas faire en sorte que chacun de ses concitoyens trouve un « emploi épanouissant ».
Sébastien Malésys : Vous avez raison ! Un maire ne peut pas rendre l’emploi épanouissant. Par contre, avec son équipe, il peut en faciliter la création sur le territoire communal en favorisant l’implantation et le développement d’entreprises.
Solidar-Belle : Mais n’est-ce pas la communauté de communes qui détient les compétences en matière de développement économique ?
Sébastien Malésys : Cela est vrai. Mais Bailleul, au sein de la CCFI (Communauté de Communes de Flandre Intérieure), a un certain nombre d’atouts qui ne sont peut-être pas assez exploités : sa situation frontalière, la proximité de l’A25, une gare, des entreprises déjà installées… Et puis, il existe des structures de développement économique au-delà des communes. Hélas, Bailleul y est trop peu présent. Nous voulons donc redonner à la commune la place qu’elle mérite au sein de la CCFI et des différentes structures de développement.
Solidar-Belle : Quelles sont ces structures dont vous parlez ?
Sébastien Malésys : Elles sont diverses. Par exemple, l’agence de développement économique «Flandre Intérieure Développement» a été créée à l’initiative de la Chambre de Commerce et d’Industrie, mais Bailleul y est quasiment absente. C’est regrettable quand on sait que cette agence accompagne la création et le développement des entreprises dans les projets et leurs financements.
Il existe aussi le club d’échange inter-entreprise «Flandres Challenge», ou encore le projet «Eura Innov Industries» dont l’objectif est de développer l’agro-alimentaire dans la région avec nos voisins belges en lien avec des entreprises innovantes.
Voila trois exemples d’initiatives régionales déclinées sur notre territoire, et Bailleul doit y être absolument présente.
Solidar-Belle : Ces structures ont sans doute leur utilité et leur objectif semble être la réflexion, l’échange, la rencontre… Avez-vous des exemples plus concrets qui ont un impact direct sur le développement économique en favorisant la création d’entreprises durables ?
Sébastien Malésys : Deux exemples simples. Tout récemment, s’est créé le club «Cigales des Monts de Flandre». (Les «Cigales» sont des clubs regroupant plusieurs personnes qui investissent dans de petites entreprises en création ou récentes). Ce réseau des «Cigales» bénéficie d’aides diverses. Notre commune doit avoir une démarche active pour favoriser l’émergence de ces clubs d’autant que Marc Deneuche est ami avec Jean Marie Ridez l’un des promoteurs des clubs Cigales en Flandre.
Autre exemple : les pouponnières d’entreprises. On sait aujourd’hui que la création d’entreprises permet la création d’emploi à terme. Mais souvent, les entrepreneurs manquent d’encadrement pour conduire leurs projets au début, ils ont aussi besoin d’aide (ex : secrétariat, assistance, trésorerie, etc.).
Activité économique
Sébastien Malésys : Une pouponnière d’entreprise à Bailleul aidera les entrepreneurs locaux à lancer, mener et développer leurs projets innovants. Le modèle du HubHouse (initiative de la région Nord Pas de Calais en partenariat avec les universités) constitue une bonne source d’inspiration.
Solidar-Belle : Vous avez expliqué comment favoriser la création ou le développement d’entreprise pour améliorer la situation de l’emploi. Mais la notion d’activité économique est large. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Sébastien Malésys : Le développement de l’activité économique doit se faire aujourd’hui sur des secteurs porteurs et en cohérence avec le territoire. Bailleul est une ville rurale où les surfaces agricoles sont nombreuses.
Bailleul a aussi une «couleur» agroalimentaire forte avec la présence de Danone. Nous voulons développer le secteur de l’alimentation-santé et celui de l’agriculture de précision. Ces deux secteurs drainent des entreprises innovantes, souvent de petite taille, mais à haute valeur ajoutée.
Solidar-Belle : Fermerez-vous la porte à des entreprises d’autres secteurs ?
Sébastien Malésys : Non, bien sûr. Toutes les entreprises qui voudront s’installer pourront le faire.
Solidar-Belle : Certaines entreprises se plaignent de l’insécurité dans la zone d’activités de la Blanche Maison. Des problèmes de circulation sont également signalés avec des voies trop étroites pour certains poids lourds.
Sébastien Malésys : Cela est vrai, nous allons donc travailler rapidement sur ces deux questions en élaborant avec les entreprises un plan de circulation cohérent et en travaillant sur la sécurisation de la zone (gardiennage, vidéo-surveillance).
Solidar-Belle : Et les commerçants, il s’agit bien d’une activité économique !
Sébastien Malésys : Bien sûr et il est indispensable de préserver le petit commerce et l’artisanat et de les mettre en valeur et nous allons modifier Mélusine qui actuellement est l'organe de promotion du maire pour le mettre au service de tous les Bailleulois. De plus beaucoup de commerçants et artisans rencontrés au cours de cette campagne regrettent que la ville achète en dehors de Bailleul et qu'ils soient toujours exclus des appels d'offre; il faut infléchir cette situation et privilégier les circuits courts avec un service après vente local. Enfin 50% des créations commerciales disparaissent avant 3 ans, nous voulons offrir aux jeunes des espaces en centre-ville où ils pourront vendre des produits locaux ou des créations originales que l’on ne trouve pas en grande surface sans investissement financier trop lourd.
Solidar-Belle : Continuerez-vous à développer la zone commerciale ?
Sébastien Malésys : Si la zone doit encore se développer, parce qu’elle crée des emplois, cela ne doit pas se faire au détriment des commerçants du centre-ville. Nous serons très vigilants sur ce point.
Solidar-Belle : Vous voulez donc que Bailleul devienne une ville de créateurs d’entreprise, une ville de patrons ?
Sébastien Malésys : L’opposition «patron/employé» est obsolète. Aujourd’hui, l’activité économique durable ne peut se faire sans solidarité. Nous voulons promouvoir des entreprises respectueuses de l’Homme et de l’environnement. Les SCOP (Sociétés COopératives et Participatives), par exemple, sont les types d’entreprise que nous voulons favoriser. Plus globalement, nous aiderons l’installation et le développement de projets d’économie solidaire sur la commune. Bailleul y jouera la synergie avec les aides régionales existant pour la mise en place de structures de ce type.
Solidar-Belle : L’équipe de Marc Deneuche est-elle capable de promouvoir cette activité économique ?
Sébastien Malésys : Sans aucun doute ! Plusieurs membres de notre équipe sont en lien avec le monde universitaire, les écoles d’ingénieur, la formation professionnelle, le secteur bancaire et le milieu agricole et agroalimentaire. Ils pourront mettre leurs compétences professionnelles au service du développement de notre ville en incitant ces entreprises à s’installer à Bailleul.
Grâce à notre équipe, Bailleul pourra devenir une véritable interface de mise en relation entre les centres de formation, les organismes financeurs et les entreprises (notamment agro-industrielles).
La CCFI : un déni de démocratie
Solidar-Belle : Pourquoi un déni de démocratie ?
Marc DENEUCHE : Je pèse mes mots avec la création de la Communauté de Commune de Flandre Intérieure, imposée par le Préfet la démocratie a été bafouée comme à l’époque de l’ex-URSS lorsque l’on créait artificiellement des pays en rattachant par exemple la Crimée à l’Ukraine ou vous vous rappelez surement de l’éclatement de la Yougoslavie de Tito. Je pensais naïvement que la France était un grand pays démocratique où le peuple était souverain, il n’en est rien la CCFI c’est un mariage forcé. D’ailleurs quatre communes demandent le divorce: Arnèke, Wemaers-Cappel, Zermezeele et Hardifort.
Solidar-Belle : Vous dites que ce n’est pas démocratique alors qu’ils ont élu un président.
Marc DENEUCHE : Alors que les règles pour l’élection du maire sont très strictes, à la CCFI aucune loi. Pour la présidence, le candidat élu a déposé sa candidature le jour de l’élection, sans programme et sans équipe et il a été élu au scrutin secret.
Solidar-Belle : Vous êtes contre le passage dans l’isoloir ?
Marc DENEUCHE : Non mais il me semble normal, dans une démocratie, de savoir comment votent nos élus, cette élection a créé une scission au sein de la CCFI avec une majorité instable à 51% qui veut imposer ses vues à l’ensemble de notre Flandre, alors que pour avancer il faut travailler main dans la main en toute confiance; c’est inacceptable.
Solidar-Belle : Que proposez-vous ?
Marc DENEUCHE : Beaucoup plus de transparence, des décisions prises à une large majorité et une réduction drastique des dépenses de fonctionnement. Il est insupportable de voir nos élus s’octroyer des indemnités mirobolantes sans aucun contrôle des citoyens alors que la France croule sous une dette de plus de 1900 milliards d’euros ce qui représente près de 80% de son P.I.B.
Solidar-Belle : Existe-t-il d’autres solutions ?
Marc DENEUCHE : Bien sûr! Il suffit de prendre exemple sur l’Allemagne et les pays nordiques qui ont depuis longtemps réduit leur nombre de politiques et leur train de vie. Pour les lecteurs qui souhaitent plus d’informations, je leur propose de se rendre sur mon site: deneuche.fr , sur ma page Facebook: Marc Deneuche ou encore via le lien: http://www.youtube.com/embed/bJEkoIwvAL8
Solidar-Belle : Quel rôle pensez-vous jouer au sein de CCFI ?
Marc DENEUCHE : Une majorité des maires des petites communes de la CCFI sont apolitiques et partagent ma vision du fonctionnement de cette instance.
Ensemble nous allons faire la chasse au gaspillage, aux dépenses de prestige et nous nous engageons à lever les lourdeurs administratives qui risquent si l’on n’y prend garde, d’être insupportables à nos concitoyens.
Solidar-Belle : Pouvez– vous donner un exemple concret ?
Marc DENEUCHE : Vous désirez déposer un permis de construire, le dossier sera instruit au niveau de la CCFI mais que vont devenir les responsable de l’urbanisme dans les différentes communes. La multiplication des intervenants est toujours source de lenteur et alors que chacun connaissait les interlocuteurs de sa commune, la démarche va devenir impersonnelle, avec des règlements absurdes.
Remerciements
Marc DENEUCHE : Depuis quelques semaines je vous présente ma vision sur l’avenir de Bailleul; ce programme, c’est le vôtre car il s’est enrichi grâce à vos appels et à vos courriers.
Pour réaliser ce programme, je me suis entouré de Bailleulois compétents motivés et disponibles.
Maintenant, c’est à vous de décider; l’avenir de Bailleul est entre vos mains.
Merci à tous ceux qui nous ont aidé pour distribuer les tracts, prendre des photos, coller les affiches, animer le site et participer comme assesseur au bon déroulement des élections et ainsi permettre à la démocratie de s’exprimer.
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